Jealous

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Feat CAMERON I. LANDERMANN.

C'est une fin de journée des plus banale pour moi. Sauf à une exception prêt tout à l'heure je vois John. Il est vrai que nos plaisir passager sont devenu de plus en plus régulier. Et même si je ne sais pas encore ce qu'il se passe entre nous je ne me pose pas trop de question, je laisse les choses ce faire. Pas besoin d'un amoureux transi qui voudrait me redescendre a un statut de femme archaïque. Alors je ne me pose pas de question avec John je vis juste le moment présent et on verra ce qu'il ce passe par la suite.

Me voilà douché, avec des sous vêtement propre prêt à rejoindre John dans sa chambre. Muffin, je l'ai laissé dans ma chambre après sont égratignure à la patte elle a besoin de repos. Alors me voilà arrivé devant la porte de John tout sourire au lèvre. Je toque attendant que ce bel homme m'ouvre pour lui sauter dessus. Mais ce n'est pas John qui m'ouvre. C'est une belle blonde. Mon sourire part illico de mon visage. « Euh... bonjour, je suis Sophia. Je suis venu voir le chef du syndicat John. » Je toise la blonde devant moi me demandant qui sait. Alors ça y ai il m'a remplacé ? Une rage intenable monte en moi mais j'essaie de ne rien faire paraître. J’espère réellement me tromper, une amie peut être ? «Il est là ? J'aurais besoin de lui parler en privé.» et pourvu que tu ne restes pas dans les parages. Ça y ai mes pensé noir revienne comme un coup en plein visage. Soit gentille Sophia tu t'emballes pour rien comme à ton habitude. Mais si je ne devais pas me contenir je l’étranglerai sur place la petite. Et puis merde ! «Dis moi tu sais si il y a beaucoup de monde qui passe dans cette chambre ?» au moins voilà je serais fixer. Quitte à partir déçu je préfère savoir la vérité.

FRIMELDA

Je n’ai pas pris de douche, je suis dans un état proche des zombies avec la fatigue accumulée. Qui aurait cru que le fait de dormir dans un lit allait autant me faire bizarre. Y a carrément des nuits où je dors par terre et des matins où je suis dans mon lit parce que John à eut la gentillesse de m’y remettre. Du coup, mon sommeil est relativement précaire et je suis rarement de bonne humeur. Alors que je suis plongée dans un livre, j’entends qu’on frappe à la porte. J’ouvre avec comme habits, le t-shirt que John portait quelques jours auparavant. Je lui pique souvent ses fringues parce que les miennes sont trop petites à mon goût. Je tombe nez à nez avec une brune qui perd rapidement son sourire en me voyant. « Bonjour Sophia. » Je n’ai pas l’air commode mais tant pis. « John n’est pas là, comme tu peux le voir. » J’ouvre la porte en grand pour qu’elle puisse voir par elle-même. Balthazar vient mettre son nez dans la conversation et je ricane quand il commence à sentir la brune. « Il est pas méchant, juste un peu brut. » Je lui souris quand je croise son regard. Elle est plutôt mignonne la brune. Soudain, sa question me dit que quelque chose ne va pas. « Euh, non. A part nous deux, je vois pas grand monde y venir, pourquoi ? » Je me fais peut-être plus curieuse que je ne le devrais mais tant pis. C’est ma chambre après tout. Je me rends compte que je me suis pas présentée. « Je suis Cameron au fait, la colloc de John. Et toi, t’es qui ? » Je sais qu’elle s’appelle Sophia mais c’est tout.

(c) DΛNDELION

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Feat CAMERON I. LANDERMANN.

La belle blonde devant n'a vraiment pas l'air très commode mais peut importe. Ce genre de chose ne m'atteint pas. Enfin en tout cas j'essaye de ne pas l'être. Merde, cette homme me dit être seul ce soir et elle est là devant moi qu'es que ça peut m'agacer. Et le pire c'est qu'il est même pas encore arrivé. J’espère qu'il ne sait rien passé de grave pour lui au moins ? Mais arrête de penser a lui Sophia ton interlocutrice devant toi s'attend à ce que tu lui réponde. Et elle porte ses fringue ce t-shirt je peux le reconnaître parmi mille. Qu'est-ce que cela voudrais dire ? Je n'aime vraiment pas ça.

Puis je sent une truffe froide me toucher la main ce qui me sort de mes pensés. Oh un chien encore, il pourrait peut être être ami avec Muffin. « T’inquiète j'en ai un aussi , un dogue de bordeaux. » La venu de ce chien m'a apaisée je suis plus tendre et douce. Alors je me met a caresser le chien avant de reprendre. « Il s'appelle comment ? Peut être je pourrais le présenter a Muffin ? » je souris a la belle blonde dont je ne connais pas le prénom. «Je.. » Réfléchi Sophia personne doit savoir et tu le sais alors ne dit pas n'importe quoi. «Parce que je passe souvent voir John ici, pour le travail et mes missions et je ne t'avais jamais croisés ou même quelqu'un d'autre. « Enchanté Cameron. » Sa colloc, un élan de soulagement me traverse. Rien de grave alors juste sa colloc. «je travail dans le syndicat de John je suis chasseuse en général. Mais il m'arrive parfois de faire d'autre mission pour John » et puis ce qui ce passe entre nous te regarde pas en faite. Faire confiance ce n'est pas de mon style, alors je me méfie de tout et de tout le monde. Mais cette Cameron me parait gentille alors autant échangé un peu plus. Sans donné trop d'information personnelle. «Je suis nouvelle dans la ville j'ai était affecter chez les nourriciers et je connais pas vraiment grand monde. Je ne fais confiance a personne dans cette ville a part a Eden c'est mon cousin peut être le connais tu ? » Si seulement elle pouvait le connaître sa m'aiderai a me faire une idée plus complète sur elle. «Je peux rentrer pour attendre john ? Et toi dit moi en un peut plus sur toi si tu le veux bien ? » Je souris prête a écouter sont histoire d'une oreille intéresse.

FRIMELDA

Dernière édition par Sophia Crow le Lun 8 Avr 2019 - 16:56, édité 1 fois

Balthazar s’emmêle dans la conversation en donnant un petit coup de truffe à la brune. Je souris en la regardant, je la rassure gentiment. Les gens ont souvent peur des pitbulls mais pas elle. Je souris encore plus quand j’apprends qu’elle a un chien. « Oh ! » Je la regarde faire en l’écoutant. « Lui, c’est Balthazar. C’est très joli Muffin. » Je passe une main sur mes yeux pour les frotter. Je suis vraiment fatiguée et je comprends pas tout alors je demande des précisions, j’ai le droit d’abord, c’est ma chambre. Je l’écoute me donner ma réponse et je lui souris, très bien, c’est pour le boulot. « Oh, je vois ! » Je finis par me présenter parce que ce n’est pas poli mais j’espère vraiment que John va bientôt rentrer. Je veux dormir. Je l’écoute me raconter ce qu’elle fait et tout, sagement. Je lui souris en m’appuyant contre la porte. J’apprends qu’elle est nouvelle et je souris. « Moi aussi, je suis arrivée avant hier je crois. » J’hausse les épaules. Après tout, je m’en fous. Au moins, je suis là maintenant. « Euh.. Eden ? Non. Je connais personne à part John. » Je me pince les lèvres, ça fait peur à voir. Soudain, elle me demande si elle peut entrer. J’écarquille les yeux. La chambre est en bordel comme pas possible et nos affaires traînent partout. Je reste bouche bée un instant avant de me décider. « Euh, oui. Mais tu fais pas attention au bordel, hein. » Elle m’en demande un peu plus sur moi. Je souris, gênée, gênée de mon accent et de tout le reste. « Que veux-tu savoir ? » Ca ira plus vite comme ça. Je ferme la porte une fois qu’elle est entrée et je vais m’asseoir sur le lit de John, lui laissant le mien en guise de politesse.

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Feat CAMERON I. LANDERMANN.

Muffin, ma pâtisserie préférée quand j'étais cette petite princesse naïve. Mais ça elle s'en fou Cameron alors je garderais donc cette information pour moi. Pour John peut être à qui je fais quelques confidence sur mon passé entre des câlin des plus torrides. Mes pensées s’égare alors que je papouille le dessus de la tête de ce magnifique pitbull. Sont petit air curieux je ne le connaît que très bien, je le retrouve tout les jours chez Muffin.

« Merci, Balthazar aussi. » je souris plus franchement. Je me sent plus détendu devant la demoiselle. Parler de chien quelque chose de peu banal dans ce monde de merde. Et pourtant ça fait du bien de partager une discutions légère avec une jolie inconnu. Une nouvelle ? Encore ? Je montre à Cameron mon étonnement en faisait une tête interrogative. Je ricane « Je ne t'ai même pas vu arrivé, certainement trop occupé à travaillé et à éviter les gens de cette foutu ville. » Il est vrai que je ne fait confiance à personne ici et je n'aime vraiment pas grand monde. Je devrais peut être apprendre a dompter ce coté sauvage en moi. Mais en même temps cela me protège et si je dois tuer je le ferais sans une once de remord. Rappelle toi Sophia pas d'attache pas de problème. «D'accord, Eden est mon cousin je peux te le présenter si tu veux ? Il aime pas trop parler mais je serais contente que vous appreniez a vous découvrir. » un grand sourire vient a mes lèvres. Une pensé derrière la tête Sophia ? Bien sûr ! Si il pense à Cameron pendant ce temps là je suis tranquille avec John. Puis ça lui ferra du bien de se déridé un peu, il a pas l'air de beaucoup s'amuser le pauvre. « Non t’inquiète pas, je vis seul moi alors je n'est pas ce problème mais je sais ce que c'est. » Puis John faut dire ce n'est pas non plus le mec le plus soigneux avec ces fringues à les jeter partout. Me voilà rentré dans la chambre, elle s’assoit sur le lit de John. Mon cœur se pince. Putain de jalousie casse toi de là ! Pas besoin de toi en ce moment prospère à un bon moment de partage. Nous voilà dans le vif du sujet, ce que je veux savoir ? Savoir si je peux te faire confiance ou si tu te tape John. Et merde elle va donc pas me lâcher de si tôt cette jalousie. J'inspire profondément. « On ta déjà affecter à un métier ? Tu te sent bien ici pour l'instant ? » Des questions banale certes mais j'ai besoin de cerner un peu plus la personne. Sont métier ici m'en dira long sur ses capacités.

J'écoute très attentivement les réponses de Cameron, en lui souriant et en faisant des mouvement de tête de bas en haut pour lui montrer que je suis accroché par ce qu'elle me dit. Mais malheureusement pour moi elle ne pourra finir sa réponse. John vient de rentrer et rien que de le voir un frisson me traverse le dos. Il est si sexy quand il rentre du travail, on dirait un animal.

FRIMELDA

Dernière édition par Sophia Crow le Sam 27 Avr 2019 - 0:59, édité 1 fois

Jealous

ft. Sophia Crow & Cameron I. Landermann

Sa journée de travail touchait à sa fin. Les mains pleines de terre, le corps brûlant des efforts donné, il était presque prêt à rentrer. John profitait de passer par les douches qui étaient près des champs pour enlever la crasse qui s'était déposée sur son corps au fil de la journée. Il gardait toujours dans son sac des habits de rechange pour ne pas sentir le fumier dès qu'il mettait un pied dans la chambre. Encore plus depuis que Cameron partageait sa chambre. Quand il était seul parfois il ne le faisait pas mais par respect pour elle, il s'était promis de le faire tous les jours.

Les cheveux encore mouillé de l'eau, le t-shirt collant contre sa peau mal essuyée. Il se dirigeait vers l'hôtel Oscar à ses côtés pour se poser dans sa chambre un moment. Il ne savait pas du tout si sa blonde serait déjà de retour où pas mais il avait besoin de se reposer, faire une petite sieste. C'était long de monter les sept étages quand il voulait juste se poser sur lit pour dormir. Il n'était même pas encore arriver devant sa porte qu'il avait déjà déboutonner son jeans et commencer à enlever son t-shirt d'un main tout en ouvrant la porte de l'autre.

Il se stoppa net quand il vit Sophia en face de lui. Elle assise sur son lit et Cam en face. C'était quoi cette situation pourrie? Lui presque à moitié à poil devant elles. Bordel. Il restait interdit pendant quelques secondes. Un peu trop longtemps? C'était suspect non, ça devenait bizarre. Il avait plein de films dans sa tête alors qu'il ne s'était jamais rien passé avec Cameron. Elle était juste sa coloc. Il avait un don pour se fourrer dans des situations complètement gênantes.... Il remit son t-shirt et les boutons de son jeans en place avant de se passer une main dans ses cheveux humides. «Désolé je pensais que j'allais être seul en rentrant dans la chambre…» Ce qui était vrai mais est-ce que Sophia allait le croire? Il avait posé ses yeux dans les liens. La suppliant en silence de le croire. «Je.. euh.»Putain elle était passé où son assurance là ? Il se sentait con John et il n'aimait pas ça. Il regarda Cam pour lui faire bonjour de la tête et remarqua directement le T-shirt qu'elle portait. C'était le sien... Et fallait que sa belle brune entre dans sa chambre aujourd'hui forcément. «Tu voulais me voir pour le travail Sophia?» Ouai il essayait de faire genre la situation était parfaitement normal alors qu'il le sentait que l'ambiance n'était très chaude. Il referma la porte et posa dans un coin son sac d'habit.

Gasmask

J’écoute attentivement Sophia avec un sourire. Elle n’a pas l’air méchante cette fille, je me demande bien ce qu’elle veut à John mais quelque chose me dit que ce n’est ni mes affaires, ni quelque chose que j’ai envie de savoir. Après tout, il est assez grand pour savoir ce qu’il fait avec ses ouvriers et avec sa queue. Au choix. Elle me propose alors de me présenter Eden, son cousin. Je lui souris. « Si tu veux, je suis toujours ouverte à de nouvelles rencontres après tout. » Il aime pas trop parler, tant mieux. J’espère qu’il n’est pas con parce que les gens qui parlent beaucoup et qui racontent des conneries, c’est pas mon genre de prédilection. Je me pose sur le lit de John alors qu’elle m’apprends qu’elle vit seule, je suppose qu’elle n’a pas encore de colocataire. « Je vois. » J’hoche la tête et lui demande ce qu’elle veut savoir à propos de moi. Tu dois socialiser Cameron, et arrêter de te renfermer sur toi-même. Socialise, bordel. Un grand sourire et j’écoute sa question. « Oui, je m’occupe des enfants et pour l’instant, je me plais bien ici, et puis John m’aide à bien me sentir ici aussi. Il est vraiment adorable ce type, j'ai jamais rencontré quelqu'un de pareil. » Je lui fais un petit sourire en m’étirant.

La porte s’ouvre sur John. T-shirt en main, jean déboutonné. Je cligne des yeux plusieurs fois en le regardant. Oh, le con. Si on avait eu des téléphones, je lui aurait envoyé un message pour lui dire que la brune était avec moi mais les antennes réseaux sont mortes et presque enterrées. Je reste là, à le regarder de bas en haut. Il fait chaud d’un coup dans la pièce et le silence est presque morbide. Seuls les chiens se font la fête, ils sont contents de se voir. Histoire de briser le silence, j’ouvre ma grande gueule. « Bha alors bébé, tu te mets à l’aise ? » Je ricane légèrement en me décalant pour lui faire une place sur le lit. J’appelle Oscar et je viens le papouiller. Je les laisse discuter tandis que je m’occupe des deux chiens avec un grand sourire. Je posais mon regard sur les deux et je reprenais où j’en étais avec Sophia un peu plus tôt. « Du coup, tu bosses avec John si j’ai bien tout compris ? » Je lui souris légèrement.

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Feat CAMERON I. LANDERMANN & JOHN DOE.

Elle s'occupe des enfants alors. Un métier peu reposant, elle doit en chier la belle blonde. Un métier que je n'aurais vraiment pas pu faire. S'occuper de ces mioches, qui cours partout et qui hurle, qu'elle cauchemars. Puis leur innocence fasse a tout ce qu'on vie, je les envies parfois dans mes bon jours, mais dans les mauvais je les trouves niais et bête. Et puis voilà John, de nouveau au milieu de notre conversation. Ce qu'elle me dit, me fait monter en pression. Un pilier, j'en ai entendu des conneries mais alors là. Il est vrai que John est un pilier pour nous les nourriciers. Toujours a l'écoute à nous aider. Il ne rechigne même pas à écouter les malheurs de certain pleurnichard. Rencontrer quelqu'un comme lui ? Mais qu'es quelle peut bien connaître de cet homme alors que ça fait seulement 2 jours qu'elle est là ? Voila une belle blonde arrivé dans sa chambre et mon belle Apollon aurait déjà craqué ? Vaut mieux pour lui qu'il ai gardé sa bite bien rangé. Du calme Sophia la demoiselle devant toi tu l'apprécie, alors pourquoi te mettre dans tout tes états comme ça. Écoute la, tu aviseras après. Mes pensées sont flou et mélangé de cette merde qu'on appelle jalousie, je n'aime donc vraiment pas ça. J’acquiesce quand même à Cameron avec des 'oui' de la tête et un léger sourire tout en écoutant ce qu'elle me dit.

Puis John fait éruption dans la chambre, sans t-shirt et le jean débouté. Pris en flagrant délit connard. Voila les premières pensées qui me viennent a l’esprit. Il se fixe devant moi, je vois bien a ça tête qu'il est gêné de la situation. Rien de plus normal. Il ne dit mot, et la colère est en trin de monter en moi. Je serre les points. Prête à me lever et à lui coller une droite qui lui décrocherai la mâchoire. Il aime la fille sauvage que je suis quand je suis au lit avec lui, la il peut me croire ça va vraiment lui déplaire. Et avant même que je me lève pour donner vie a mes pensées des mots sortent enfin de sa bouche. Des mots qui on l'air plutôt sincère, et sont regard aussi. Il me regarde fixement et j'aurais presque envie de le croire à cette instant. Son assurance c'est comme envolé a cette instant. Et voilà le coup final asséner à mon cœur. La blonde ce permet d'appeler John, bébé. Un surnom que même moi je n'utilise avec lui. D'ailleurs je ne lui ai jamais donné de surnom mignon ou niais. On en est pas là avec John. C'est peut être bien ça le problème Sophia, c'est que tu aimerais en être la avec lui. Mais tu lui en a jamais parlé alors tu ne sais pas. Une larme roule sur ma joue, que j'essaye très rapidement d'essuyer avec le dessus de ma main. Elle se décale sur le lit de John comme pour lui laisser une place à coté d'elle. Si il s’assoit là, je vais les bouffer, voilà une certitude.
«Oui je voulais te voir pour le planning et ma journée de demain. Savoir sur qu'elle tache tu m'as mise » heureusement sans le savoir il avait donné la même excuse que moi. Mais je sent que c'est pas naturel entre nous et j’espère que Cameron ne se doute de rien. Elle caresse les chiens cela a l'air de plus la passionné, heureusement pour nous. «Il faudrait qu'on puisse parler en privé chef, j'ai des questions sur plusieurs choses» Boulot, vie privée il ne saurât pas je laisse le doute planer exprès. J'ai envie de les claqués les deux, et je me retiens tellement de fondre en larme que je me mort l’intérieur de la bouche quand je ne parle pas. « Oui c'est ça on bosse ensemble, c'est mon chef de syndicat » et un connard pas capable de garder ses distances avec les jolies filles faut croire. «Vous voulez peut être vous reposez ? Vous voulez que j'y aille ? » Bien que je n'ai aucune envie je sent la tension qu'il y a dans cette pièce et je me sent de trop à cette instant. Mais j'essaye de détendre l’atmosphère avec une phrase passe partout. "Il faudrait qu'on aille promener nos chiens un jour tout les trois ensemble." Du calme Sophia ça va bien se passer.

FRIMELDA

Le brun arrive dans la chambre, à moitié débraillé devant elle et moi. Je ne sais pas ce qu’il se passe entre eux mais vu la gueule de la brune, je crois que ce n’est plus de mon ressort. Je les laisse se débrouiller en essayant de détendre la situation tranquillement avec ma grande bouche et mes bonnes idées. Mon attention se porte sur Oscar qui s’évertue à remuer la queue dans tous les sens. Je caresse sa petite tête avant de me décaler pour que John puisse se poser après sa journée. Je relance la conversation comme je peux en relançant la demande de Sophia. Je fais office de liant entre les deux, un peu comme le Redbull et la vodka. Je caresse Oscar puis Balthazar, l’un à côté de l’autre, je finis par me mettre au sol en laissant les deux nourriciers parler dans leur coin. En soit, j’ai toujours préféré la compagnie des animaux. Ils sont bien moins chiants que les humains, moins bavards, plus tranquille et plus aimable.

J’entends la brune qui s’adresse à nous deux. Je relève le regard, étant totalement à côté de la plaque et fatiguée comme pas possible. « Hein ? » Je baille un coup. « Oh mais non, reste Sophia si tu veux. Tu me gênes pas personnellement. » Je lui offre un grand sourire. « A moins que tu aies quelque chose à faire. » Je lui souris encore une fois en me levant pour aller voir les tournesols. Ils poussent doucement mais moi, ça me fait plaisir. Je me retourne quand elle propose d’aller promener les chiens ensemble. « Oh oui ! Carrément ! Elle est stérilisée Muffin ? J’ai pas envie que Balthazar lui fasse des petits mouflets. » Je siffle le gros et il arrive dans mes pattes.

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ft. Sophia Crow & Cameron I. Landermann

Il n'avait pas parlé de Sophia à Cam. En fait ils n'en avaient même pas parlé entre eux. Il était quoi ? Des plans culs? Un couple? Tout ce qu'il savait pour le moment John s'était qu'il se sentait bien quand il était avec la brune et qu'ils avaient passé plusieurs moments ensemble, très torrides et plaisant. Il ne savait pas vraiment comment réagir avec elle. Venir la prendre dans ses bras et déposer un baiser sur ses lèvres? C'était un peu bizarre de faire ça alors qu'il ne savait même pas ce qu'elle voulait elle au final. Sophia voulait peut-être juste qu'ils restent des amants fixes. Intérieurement il remercie la blonde de s'être mise de côté et de s'occuper avec les chiens. Et de lui avoir dit qu'elle ne dérangeait pas ce qui était vrai. Il se rapproche de Sophia pour lui prendre la main sans avoir répondu à ses questions et lance un regard entendu à Cameron, il n'allait rien se passer mais ils devaient parler en privé pour le moment. Et il l'emmène dans le coin coussin. L'ancien salle de bain qu'ils avaient transformer en coin cosy avec des coussins trouvé un peu partout. Ils avaient gardé la porte coulissante et il était heureux pour une fois de ne pas l'avoir enlevée. Une fois la porte fermée John prend le visage de Sophia entre ses mains et plonge ses yeux dans les siens. « Crois moi quand je te dis que je pensais être seul dans la chambre et qu'il ne s'est jamais rien passé avec Cameron.» Et sans lui demander son avis il l'embrasse. Juste un peu. Pour lui rappeler quel goût il a. «Tu voulais vraiment me voir pour le planning ou c'était juste une excuse ?»

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Feat CAMERON I. LANDERMANN & JOHN DOE.

Partir ou rester tel est la question. Mais la blonde à moitié présente me répond. Elle me dit que je ne ne dérange pas. J'aurais préféré que ce soit ce gros porc de John qui me le dise. Mais non il fallait que ce soit la belle blonde. « Non je n'ai rien à faire actuellement. » J'essaie d'avoir un sourire franc pour Cameron. «Non elle n'est pas stérilisé, je ne lui ferais jamais vivre ça. Je dois la reproduire avant qu'elle soit trop vieille. » Je hausse les épaules.

Il s'approche de moi John. Il me prend la main. Avec ses doigts dégueulasse, qui on du plongé dans plus d'intimité féminine que je ne le voudrais. Moi qui pensait être l'unique à ce moment-là, je l'aurais baffé. Mais je me laisse faire. Lassé de toutes les guerres que j'ai dû affronter dans le passé. Triste d'apprendre qu'il s'envoie peut-être sa colocataire. Mes pensées ne sont plus clairs, ma jalousie a pris le dessus. Il m'emmène dans un coin cosy. Qui devait être avant leur salle de bain. Il ferme la porte, mes poings se ferment. Prêt à le frappé et à partir pleurer. Mais il prend mon visage dans ses mains. Il m’attendrit le con. Il sait y faire avec moi c'est fou. Mes poings se délie. « Oui. » Je prends une grande inspiration. Mes sanglots sont dur à retenir devant lui. « Oui je te crois oui. Mais j'ai tellement envie de te claquer. » Je peux a peine finir cette phrase qu'il pose un baisé sur mes lèvres. Et je craque, mes sanglots coule à flot. Je le retire vers moi, ce baisé avec un goût de trop peu. Pour qu'on s'embrasse de façon plus animal. Et je trempe les joues de mon bel homme de mes larmes. « Non je ne voulais pas te voir pour le planning. Je voulais te voir pour te parler, et bien plus. »

Je voulais le dévorer. L'obliger à me regarder me déhancher sur lui. Mais pas que et c'est bien là le problème. J'avais besoin de lui, de lui parler. Il me manquait terriblement et je ne sais pas si ça j’étais prête à lui avouer. Et pourtant. Je prends une grande bouffé d'air avant de déballer mon sac. « Tu me manquais terriblement. J'avais besoin de toi. Toutes mes pensées ce sont tournées vers toi aujourd'hui. Je crois bien être accros à toi bel homme » Mon sourire est revenu. Mais on peut lire en moi comme dans un livre ouvert. Je suis un peu gênée des confidences que je viens de lui dire. «Faut que je file, si tu as ressenti la même chose que moi alors rejoins moi quand le soleil se couche. Si tu ne le fais pas alors je comprendrais, que cette histoire pour toi avait une date de péremption. » J'ouvre la porte de la salle de bain, passe devant Cameron. « A bientôt jolie blonde » je lui souris. Et part angoissé de savoir si John va me rejoindre au coucher du soleil ou non.

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Les deux s’enferment dans la petite pièce tandis que je m’occupe de mon côté. Après avoir caresser les chiens pendant quelques minutes, je relève le regard sur nos plantations à John et moi. Elles ne poussent pas très vite et je décide de leur donner un coup de pouce en ouvrant la fenêtre pour qu’elles puissent avoir quelques rayons de soleil. Je prends un peu d’eau dans la gamelle des chiens et je viens en mettre dessus, au niveau de la terre. « Poussez petites choses, poussez. » Je souris en les regardant alors qu’un de mes livres me fait de l’œil. Je m’étale comme une grosse crêpe sur le lit et je me pose tranquillement, la tête plongée dans mon roman que je lis encore une fois. Je ne m’en passe plus de celui-ci. J’entends quelques bribes de leur conversation en relevant la tête mais ma conscience me dit que c’est n’est pas mes affaires alors, je replonge la tête dans mon livre jusqu’à ce que la brune sorte de notre petite pièce magique. « A bientôt jolie brune. » Je relève vite fait la tête de mon livre pour lui rendre son sourire et quand elle claque la porte. Je viens voir John avec un petit sourire en coin. « Alors comme ça, monsieur est le charmeur de ces dames ? » Oh, je vais tellement le cuisiner. J’ai un petit sourire qui ne décolle plus et je m’apprête à le taquiner encore un peu. « Dis moi que tu ne l’as pas baiser dans notre lit, s’il te plait ? » Je me mords l’intérieur de la joue.

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ft. Sophia Crow & Cameron I. Landermann

Il ne s'était pas du tout attendu à ce qu'elle accepte son baiser. Il avait joué le tout pour le tout et elle avait accepté. Il s'empêcha de sourire quand la brune lui avait dit qu'elle le claquerai bien. Sanguine, il aimait ça. Mais elle craque sa douce, les larmes coulent et les sanglots sont présent. Son cœur se serre dans sa poitrine. Il ne voulait pas lui faire de mal bien au contraire. Tout ce qu'il souhaitait c'était le bonheur de cette femme. Et s'il pouvait en être la source ce n'était que mieux.

Puis était venu le temps des confidences, elle avait libéré les lèvres de John des siennes. Il aurait voulu la garder contre lui plus longtemps mais elle en avait décidé autrement. Elle lui dit des mots qui lui fit perdre pieds. Des mots qui l’aurait fait fuir avant. Dès qu'une femme commençait à trop s'attacher à lui. Il partait John. Il ne voulait pas se sentir enchaîner. C’était pas fait pour lui ça. Et Sophia avait mit les deux pieds dans le plat. Elle ne lui avait pas laissé le temps de répondre qu'elle était déjà partie en lui donnant rendez-vous dans sa fameuse chambre. Et même si le brun aurait eu un temps de réponse aucun mot ne serait sorti de sa bouche. Il était comme gelé sur place. Le corps ne répondait plus. Son cerveau était débranché.

La peur était revenue dans le creux de son ventre. Elle lui serrait aussi la gorge. Il entendit Sophia dire au revoir à la blonde. Et lui il n'avait pas bougé. Toujours debout comme un con dans cette pièce qui manquait cruellement d'air tout d'un coup. Fallait qu'il sorte. Qu'il remplisse ses poumons d’air frais.

Il était là sans vraiment l'être. John ne fit même pas attention à la première remarque de Cameron, trop occupé à chercher sa veste pour sortir. Il n'est pas d'humeur à rigoler avec sa blonde. Pas aujourd'hui. Son regard ne se pose pas une seule fois sur elle. « Non on a pas couché dans la chambre. » Le ton était neutre. Sortir vite avant de manquer d'air. Il appelle les deux chiens. « Je reviens plus tard. » Aucune information, aucune indication d’où il allait. Juste plus tard. Pas maintenant. Et sûrement pas demain. Un jour.

Sans attendre plus longtemps il descendit les marches presque en courant. Sortir. Les chiens tout heureux courraient déjà devant lui pensant qu'il voulait faire la course. Une fois la porte d'entrée de l'hôtel John prit une grande inspiration avant de tout relâcher. D'un pas un peu plus calme il se dirigea vers les entendues vertes pour réfléchir avant le couché du soleil.

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